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18 décembre 2014 4 18 /12 /décembre /2014 07:30

A cette question Jean Sivardière apporte quelques élèments de réponses...

 

logofnaut2012

 

 

L'assouplissement du transport par car peut-il mettre en péril le ferroviaire ? Quelques élèments de réponses par la FNAUT.

 

 

Monsieur Macron ne connaît pas le secteur des transports. Contrairement à ce qu'il affirme, le train n'est pas huit à dix fois plus cher pour le voyageur que le car mais deux fois en moyenne, et un "pauvre" peut souvent trouver des tarifs TGV, intercités ou TER compétitifs avec ceux du car et du covoiturage s'il accepte des contraintes horaires. Cette erreur est regrettable, elle accrédite l'idée fausse que le train est toujours cher, donc fait pour les riches, et que l'autocar est le transport des "pauvres".

Des liaisons routières sont nécessaires sur les itinéraires à courte distance actuellement non desservis par le train. Mais, c'est la deuxième erreur du ministre de l'Économie, l'autocar n'est pas fait pour assurer des déplacements longue distance. Il offre un confort très inférieur à celui du train : l'espace intérieur disponible est de O,5 mètre carré par voyageur, deux fois moins que dans le train. Sa capacité limitée ne lui permet pas d'absorber les pointes de trafic. Il est soumis aux aléas de la circulation routière en zones urbaines.

  autocar3

 

Enfin, troisième erreur du ministre, la libéralisation du transport par car va menacer la pérennité des services ferroviaires existants, déjà fragilisés par la concurrence de l'avion à bas coût, de l'autocar caboteur (Eurolines, iDBus) et du covoiturage. Or, lors des transferts sur route de services TER ou Intercités, on observe un retour d'une partie des voyageurs à la voiture, évidemment contraire aux objectifs de la loi sur la transition énergétique. La libéralisation du transport par car est prématurée : elle doit être précédée d'une forte amélioration de la qualité de service et de la productivité du système ferroviaire. Il ne s'agit pas de limiter l'offre à quelques axes à fort trafic mais de valoriser tout le réseau ferré classique.

La libéralisation du transport par car doit être régulée par l'État et les régions afin d'éviter une concurrence train-car stérile : et il faut introduire auparavant la concurrence dans

le secteur ferroviaire, sous forme de délégation de service public comme en transport urbain ou départemental, afin de provoquer une amélioration des services et une baisse des coûts de production et des prix du train.

 

 


Jean Sivardière, président de la FNAUT

(Fédération Nationale des Associations d'Usagers des Transports)

 

Communiqué de Presse

 

 

Autocar modèle "Macron" pour "pauvres et Sans Dents ?  source

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16 décembre 2014 2 16 /12 /décembre /2014 07:16

logofnaut2012

 

Communiqués de presse   

15 décembre 2014

 

La FNAUT demande une redéfinition des missions des taxis

 

 

Les artisans taxis traditionnels se plaignent de la concurrence des voitures de tourisme avec chauffeur (VTC), motos-taxis et voitures en libre-service. Ils dénoncent plus particulièrement la société Uber, qui exerce des activités commerciales de covoiturage urbain en temps réel.

 

Le statut hybride des taxis 

 

Ayant eux-mêmes peu évolué, les taxis se situent mal dans cette jungle, à mi-chemin entre un statut libéral– le chauffeur est maître à bord et a le choix de ses courses - et un statut  public, du fait qu'ils sont soumis à une règlementation et à une autorité publique (la préfecture de police dans l'agglomération parisienne, une préfecture en province).

    http://www.economie.gouv.fr/files/files/directions_services/dgccrf/imgs/fiches_pratiques/Taxi.jpg

  source photo

 

Le taxi, complément du transport collectif

 

Pour la FNAUT, les taxis doivent clairement se situer dans le service public et être considérés comme un complément du transport collectif, donc placés à ce titre sous la responsabilité d’une Autorité organisatrice de la mobilité durable (AOMD). Celle-ci doit faire en sorte :

  •  qu'ils soient présents dans tous les quartiers des grandes agglomérations ;
  •  qu'ils soient facilement repérables  ;
  •  qu'ils soient physiquement accessibles à tous comme le sont les "cabs" londoniens ;
  •  que leur prix soit abordable. Chacun doit pouvoir recourir au taxi pour des déplacements occasionnels (déplacements familiaux, achats importants, transport de bagages).

http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/9/96/France_road_sign_C5.svg/230px-France_road_sign_C5.svg.png

 

Mettre fin aux formes de concurrence déloyale

 

La loi Thévenoud (septembre 2014) encadre déjà les activités des VTC. D'autres mesures doivent être prises pour mettre fin à la concurrence déloyale que la société Uber exerce sur les taxis. 


Mais ces mesures ne dispensent pas les taxis de se moderniser et d'être bien plus qu'aujourd'hui tournés vers le client, au lieu de se contenter d’une attitude défensive et corporatiste.


Un service public de taxis très présent, d’utilisation facile et à la portée financière de tous contribuerait à réduire les nuisances et l'accaparement de l'espace urbain par la voiture. Encore faut-il qu'il soit à la hauteur de cette mission.

 


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11 décembre 2014 4 11 /12 /décembre /2014 08:00

 

Passionnés des trains et du monde du chemin de fer,  profitez de séances de dédicaces pour Noël... Et venez découvrir l'auteur d' Un demi-siècle de petits trains en Mayenne, Pierre-Alain Menant, d'origine normande, ayant grandi à Ambrières les Vallées, dans le nord Mayenne.

 

http://www.petitpave.fr/fct_image.php?rep=uploads&img=menant-2.jpg&width=200

 

Ce passionné de l’univers ferroviaire en général et des chemins de fer secondaires en particulier, est membre d’une association de sauvegarde du patrimoine ferroviaire. Un demi-siècle de petits trains en Mayenne est son premier ouvrage.

 

Les séances de dédicace se ferront : 

  • à la librairie du Marais, place Clemenceau à Mayenne samedi 13 décembre de 14h à 19h
  • à la librairie Corneille, 5 rue du Général de Gaulle à Laval dimanche 14 décembre de 15h à 18h.

  couv1-menant.jpg

 

 

Résumé

Un demi-siècle de petits trains en Mayenne

 

De nos jours, le chemin de fer de proximité a disparu en Mayenne comme ailleurs.

 

Cependant des traces bien souvent ignorées de ce passé subsistent encore ici et là, comme les derniers témoins de ce qui était alors un élément important du développement économique, social et de loisir de nos campagnes.

 

Tout est présenté dans ce livre richement illustré de Pierre-Alain Menant, un passionné du monde ferroviaire et de la région de Mayenne.

 

De la difficile naissance du réseau mayennais au début du XXe siècle aux belles années d’exploitation, avec ses gares, ses compagnies...

 

Puis sa lente agonie, avec ses lignes désertes,

 

Mais aussi la nostalgie aujourd’hui encore pour ces locomotives, ces wagons...

 


 

Plus de 250 illustrations, photographies, cartes postales, plans, documents...

 

Histoire du réseau, des gares, des compagnies

 

Inventaire du patrimoine des chemins de fer

 

 

voir fiche sur le site éditeur

 

 

Octobre 2014 - 244 pages - Format : 21x29,7 - 26 €uros

 

 

500-c-1 05 01 00a

 

Un demi-siècle de petits trains en Mayenne

de

Pierre-Alain Menant

 

Octobre 2014

ISBN : 978-2-84712-430-9

244 pages - Format : 21x29,7 - 26 €uros

http://www.petitpave.fr/catalogue-regionalisme-2-1.html

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11 décembre 2014 4 11 /12 /décembre /2014 07:18

Ce que prévoit la loi Macron en matière de transport : Autocars et autoroutes... Une politique Auto... centrée !

Le texte vise à libéraliser le transport par autocar jusqu’ici réglementé à l’extrême, pour permettre de relier plus facilement les grandes villes de l’Hexagone.

 

Des transports pour "les sans dents"

 

Ces nouvelles dessertes par autocar auront, estime le gouvernement, un prix inférieur à celui du train et permettront à des publics jeunes ou démunis de se déplacer plus facilement.

 

autocar3


Toujours dans le domaine des transports, le projet de loi prévoit d’élargir les compétences de l’Araf (autorité de régulation des activités ferroviaires et routières) en matière de fixation des tarifs de péages autoroutiers et de travaux sur les autoroutes.

 

Voir le dossier du journal : Les Echos  La nouvelle jeunesse de l’autocar

 

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10 décembre 2014 3 10 /12 /décembre /2014 10:10

Un transporteur privé organise au départ du Mans, une excursion à destination de Laval.

 

Sous le titre "Les illuminations de Laval", il propose un transport "sec" pour le samedi 13 décembre 2014, pour un tarif de 20€ par personne adulte, avec une arrivée en début d'après midi pour une demi journée libre au Marché de noël.

 

Le Départ du Mans est prévu à 13h30 et le retour vers 20h30. 

 

 
Ce prix défiant toute concurrence comprend  uniquement  le transport .  
 

 

http://www.stao72.fr/detail.php?id_page=191

 

L'offre des transporteurs privés sera toujours concurrentielle dans les conditions actuelles vis à vis d'une offfre TER incomplète et déséquilibrée...

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10 décembre 2014 3 10 /12 /décembre /2014 07:39

Logo_TUL.jpg

 

Pour venir découvrir les Lumières de Laval, venir au Marché de Noël ou faire vos achats, facilitez-vous la vie en prenant les TUL.... 


Tous les samedis et dimanches du mois de décembre 2014, le Ticket Unité est valable non pas une heure mais toute la journée, pour seulement 1.15 € !


Le Ticket est vendu par les conducteurs et il doit être oblitéré au moment de l'achat.

 

 

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9 décembre 2014 2 09 /12 /décembre /2014 07:20

Communiqué de Presse du 21 novembre 2014

La FNAUT soutient le projet de tramway du Grand Avignon

 

Le tramway n’est pas une mode, c’est un investissement d’avenir. Choisir le tramway, c’est faire le choix d’un vrai développement durable.

 

Le tramway n'est pas un luxe pour une ville, c'est une nécessité

 

Depuis 1984, le tramway a été adopté par 26 agglomérations françaises : en région parisienne et, en province, par de grandes agglomérations (Lyon, Nice, Montpellier,…) comme par des agglomérations de taille plus modeste telles que le Grand Besançon, qui ne compte que 180 000 habitants. Il y connaît systématiquement un succès commercial supérieur aux prévisions.

 

Le tramway constitue l’ossature efficace d’un réseau de transport urbain. Accompagné d’une restructuration du réseau d’autobus, il améliore considérablement la qualité du service public de transport. Non seulement il facilite les déplacements des habitants non motorisés, mais il attire de nombreux automobilistes par sa fiabilité, sa vitesse commerciale élevée et son confort.

 

Il réduit ainsi les embouteillages et les difficultés de stationnement. En fluidifiant le trafic routier, en facilitant les déplacements domicile-travail, les déplacements professionnels et les livraisons, il contribue au dynamisme économique.

 

Avignon Cité des papes...oui mais le tramway aussi...

 

Il permet de limiter les nuisances subies par les habitants – bruit, pollution de l’air, stress - et, grâce aux aménagements urbains qui accompagnent sa mise en place, d’améliorer fortement le cadre de vie urbain et l’image de la ville. Le commerce central en bénéficie directement.

 

Le tramway est la technique de transport collectif à privilégier pour répondre aux besoins de mobilité, aux impératifs économiques et aux exigences environnementales des habitants de l’agglomération d’Avignon.

 

Bien conçu techniquement, le projet de tramway d’Avignon répond à ces objectifs beaucoup mieux que ne pourrait le faire un simple bus en site propre (BHNS). Il serait particulièrement regrettable qu’il soit abandonné alors qu’il offre une occasion unique de modernisation du réseau de transport collectif, d’activité économique et de rénovation urbaine.

 

La FNAUT apporte donc tout son soutien à l’association AtoutsTram et à l’ensemble des forces économiques et sociales qui se battent pour la réalisation rapide de ce projet structurant, pour lequel des sommes importantes ont déjà été engagées et qui est rendu encore plus urgent par le chômage que connait l’agglomération d’Avignon.

 

 

Source : http://www.francebleu.fr/infos/le-projet-de-tramway-du-grand-avignon-sur-les-rails-921084

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8 décembre 2014 1 08 /12 /décembre /2014 07:29

 

http://www.cco-nantes.org/sites/default/files/styles/diapo-image/public/conseil-developpement_0.jpg?itok=YMvhigbm1er décembre 2014

 

 

 

Contribution de Jean RENARD

Rapporteur général du Conseil de développement

renard.jean@numericable.fr

 

 

 

 

 

A propos de la liaison Nantes-Rennes


 

Le Conseil de développement de l’agglomération nantaise ne saurait se désintéresser du projet de liaison rapide entre les deux villes d’autant que le statut de métropole en janvier 2015 va, sans aucun doute, rebattre les cartes de leurs rapports.

Ce projet d’amélioration de leurs relations est à l’ordre du jour et un large débat public s’est ouvert il y a peu à ce sujet sur le site de la commission nationale du débat public dit LNOBPL.


Chacun sait que les relations physiques entre les deux villes souffrent d’un lourd passé d’incompréhensions, de malentendus, voire de rejet. Les deux villes ont longtemps été et demeurent concurrentes pour bien des sujets.

Chacune regardait plus vers Paris que vers sa voisine. Les politiques nous affirment que les choses sont en train de changer. On parle même d’une association. Acceptons en l’augure.


Rappelons pour mémoire que la mise à deux fois deux voies de la liaison routière s’est faite tardivement. Elle met les deux villes à moins d’une heure. Les aires urbaines des deux agglomérations, du fait de l’étalement urbain, tendent à se rejoindre. En revanche, les liaisons ferroviaires demeurent longues du fait du passage par Redon et de l’état des voies, et de l’absence d’un cadencement suffisant.


Toutes ces remarques sont en faveur d’une sensible amélioration des relations. Deux raisons supplémentaires sont mises en avant : la voie ferrée procure moins de pollutions et d’effet de serre que la route et il y a le serpent de mer du transfert de l’aéroport de Nantes qui procurerait un trafic passager estimé non négligeable en faisant passer une nouvelle ligne à proximité. Ce qui reste à prouver dans la mesure où l’actuel aéroport bénéficie de la proximité d’une voie ferrée que l’on se refuse à utiliser !


Dans ce cadre de réflexion, le maître d’ouvrage RFF (Réseau Ferré de France) a étudié plusieurs possibilités que l’on peut résumer de trois types :

  • une amélioration de la voie ferrée actuelle via Redon faisant gagner quelques minutes
  • une voie nouvelle plus directe de type LGV qui permettrait de mettre les deux villes à environ trente minutes
  • un réaménagement du tracé via Châteaubriant, qui a l’avantage d’être plus court que celui par Redon mais qui demande un raccordement à hauteur de la sous-préfecture de Loire-Atlantique.

nantes atlantique

"...l’actuel aéroport bénéficie de la proximité d’une voie ferrée que l’on se refuse à utiliser !" Nantes Atlantique

et les rails de l'ancien itinéraire  Nantes-Pornic

 

A lire les dossiers fournis par les administrations et le maître d’ouvrage, et à écouter ce qui se dit dans les réunions publiques exigées par la nature et le montant des coûts, on ne peut que s’étonner. Il semble que les jeux sont déjà faits en faveur d’un scénario. On a connu jadis ce type de consultation que je baptiserai volontiers d‘enfumage des citoyens.


Les différentes solutions proposées se résument à un aménagement de la voie via Redon ou bien la construction d’une voie nouvelle entre les deux villes. En revanche, la solution d’un aménagement via Châteaubriant ne figure pas.


Or, la création d’une nouvelle voie a été implicitement rejetée par la commission Mobilité 21 présidée par le député Philippe Duron. Le coût en serait prohibitif par rapport aux trafics envisagés. En outre, un tel projet se heurterait aux populations qui devraient supporter les nuisances. Ce choix relève d’un grand projet inutile et il soulèverait de vives contestations. La solution a été naguère repoussée par RFF et la SNCF lorsque le projet de la ligne le Mans-Rennes passant par Châteaubriant avec deux bretelles, l’une vers Rennes, l’autre vers Nantes, n’a pas été retenu.


Lors du débat public qui s’est tenu à Nantes le 27 novembre, la solution alternative du tracé via Châteaubriant a été évoquée par une a ssociation citoyenne. Cette dernière s’est déclarée étonnée des résultats de l’expertise du

maître d’ouvrage faisant état de la nécessité d’un tronçon de 26 kilomètres de voies nouvelles vers Retiers ainsi que la réalisation d’un tunnel de 7 kilomètres sous l’Erdre pour gagner la gare de Nantes. Ces deux réalisations rendraient irréaliste le tracé compte tenu des coûts engendrés.


Or, la contre-expertise de l’association démontre qu’il n ‘y a nul besoin de ces deux chantiers pour réaliser la jonction entre les deux villes. Les infrastructures existent déjà. Il suffit de les aménager. Comme ce qui a été fait entre Nantes et Châteaubriant pour le récent tram-train.


Est-ce à dire que les tenants de lourds aménagements, ou ceux en faveur de voies nouvelles, en tendent dégager de substantielles plus values valorisant leur savoir faire et engendrant de gros travaux ? Alors que le souci d’économie serait de réutiliser les voies existantes.

 

Le débat semble mal engagé vu du côté des citoyens à qui l’on entend faire croire qu’il faut du "toujours plus" comme si l’on était encore aux temps des Trente Glorieuses. Or, le choix du tracé via Châteaubriant offre l’avantage, en terme d’aménagement du territoire, de favoriser l’essor économique de ce bout de département à l’écart jusqu’ici des grands axes de développement et d’irriguer les cantons des départements voisins, eux aussi à l’écart des métropoles.

 

Un examen contradictoire des différentes solutions prenant en compte la globalité des problèmes soulevés, et pas seulement ceux étroitement liés aux seules relations physiques, doit être présenté lors des enquêtes publiques. Sinon les dés sont pipés. Or désormais les citoyens ne sont pas dupes.

Au sein du Conseil de développement, il serait bon que nous puissions en discuter et donner notre avis sous la forme d’un cahier d’acteur. Tel est le sens de ce texte.

 

 

 

PS : Pour complément, rappelons que le Modem, les écologistes, l’association Nexus et un grand nombre de particuliers ont fait connaître leur choix du tracé via Châteaubriant.

 


http://www.nantes-citoyennete.com/X_FICHIERSPDF/141201_contrib_Renard.pdf

 


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7 décembre 2014 7 07 /12 /décembre /2014 19:46

Il y a des "prunes" qui se perdent...

 

D'habitude ce sont les particuliers qui gênent les autocars dans les gares routières "ouvertes" comme celle d'Angers ou de Laval par exemple... Régulièrement le vendredi soir, le d imanche soir, les autocars ont du mal soit à stationner, soit à accéder à leurs quais réservés, soit à s'extirper du flot de véhicules en infraction par rapport à la réglementation (sens interdit aux véhicules légers)... mais rien y fait ! Mais que fait la police !


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Un petit espace où ne devrait évoluer que les Transports Collectifs

 

Un constat récurrent !

 

Ce constat est récurrent au point que les conducteurs des autocars se fâchent  parfois... devant tant d'incivisme. Dans le cadre des Comités de Ligne, cette situation a déjà été dénoncée à plusieurs reprises par la FNAUT.

 

Régulièrement en effet des automobilistes viennent stationner sur les aires des autocars pour une "dépose" minute de leurs passagers mais souvent ils y stationnent et les conducteurs des autocars régionaux et départementaux sont génés pour leur manoeuvre et l'ouverture des soutes... La sécurité des voyageurs est quelque fois mis en danger, puisque les véhicules légers se faufilent entre les voyageurs ...

 

La gare routière de Laval  : une zone à défendre  (ZAD) ?

 

Dimanche 7 décembre, la gare routière de Laval était encore dans cette situation sauf que cette fois, elle était "occupée" par une compagnie de CRS faisant étape à Laval ? Pour protéger la gare routière et faire appliquer la loi ? Peut être pour voir les illuminations ? Toujours est-il qu'en plus de la suppression des arrêts du centre ville pour cause d'illuminations, l'accès aux T.C. était  en quelque sorte un parcours du combattant...  

 

DSC00241.JPG

Les cars de CRS stationnés devant les abribus de la gare routière alors que l'autocar Laval - Mayenne de la ligne 2 du réseau Pégase a eu du mal à se faufiler entre les cars de CRS en stationnement gênant. En même temps sur l'autre quai, les autocars de Nantes et Angers attendaient de partir... photo prise Dimanche 7 décembre 2014 vers 16h 45

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6 décembre 2014 6 06 /12 /décembre /2014 01:00

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Sur certains axes il n'y a déjà pas beaucoup de TER le samedi... avec cette grève il y en aura encore moins... La Direction de la SNCF a déjà fait le choix de privilégier les TGV au détriment des trains du quotidien (TER) depuis le début de cette grève... un choix délibéré.

 

Infographie : Le Point

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