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Comment gérer le succès du vélo dans les TER ?
Lors du Comité de ligne du Choletais (lignes fer et car transitant ou aboutissant à Cholet), les responsables de la SCNF et du Conseil régional des Pays de la Loire ont fait le constat que les vélos envahissent les TER, signe que le besoin existe.
Le problème, c'est que dans certains trains du matin et du soir, les vélos se comptent bientôt par dizaines, là où l'offre de "rangement" est officiellement limitée à 2 à 4 places par rame. Pour peu que la rame soit unique, il n'y a parfois que 3 places pour ranger les vélos, comme dans cette Z2 rénovée, circulant sur Angers Tours (notre photo).
Quelles solutions pour gérer le trop plein de vélos ?
D'abord un constat : mettre son vélo matin et soir dans le train n'est en aucun cas un plaisir, mais une contrainte. C'est ce qu'ont déclaré aux élus la FNAUT et Place au Vélo (Angers).
La plupart des abonnés TER préféreraient laisser leur vélo dans la gare proche de leur domicile ou celle proche de leur travail, mais le risque de vol ou de dégradation les fait reculer. Certains mettent le vélo dans le TER car cet objet encombrant (certes !) leur est indispensable du domicile à la gare mais aussi de (l'autre) gare à leur lieu de travail ou d'études.
Garages sécurisés et location de vélos
Afin de pouvoir laisser les vélos le soir à la gare proche du lieu de travail, quelques parkings à vélos sécurisés existent (Nantes, Angers, Vertou), mais il faudrait passer la vitesse supérieure et installer ce type d'équipements dans les principales gares de toute la région, dont celles des petites villes qui ne disposent pas de réseau de transport en commun permettant de relier la gare aux lieux de travail.
Autre piste étudiée par les élus : louer aux abonnés TER des vélos en gare, à des prix très attractifs, voire gratuitement. Une idée intéressante, mais il faudra tenir compte des besoins variés des utilisateurs (parcours en côte, morphologie, ...).
Le problème, c'est que dans certains trains du matin et du soir, les vélos se comptent bientôt par dizaines, là où l'offre de "rangement" est officiellement limitée à 2 à 4 places par rame. Pour peu que la rame soit unique, il n'y a parfois que 3 places pour ranger les vélos, comme dans cette Z2 rénovée, circulant sur Angers Tours (notre photo).
Quelles solutions pour gérer le trop plein de vélos ?
D'abord un constat : mettre son vélo matin et soir dans le train n'est en aucun cas un plaisir, mais une contrainte. C'est ce qu'ont déclaré aux élus la FNAUT et Place au Vélo (Angers).
La plupart des abonnés TER préféreraient laisser leur vélo dans la gare proche de leur domicile ou celle proche de leur travail, mais le risque de vol ou de dégradation les fait reculer. Certains mettent le vélo dans le TER car cet objet encombrant (certes !) leur est indispensable du domicile à la gare mais aussi de (l'autre) gare à leur lieu de travail ou d'études.
Garages sécurisés et location de vélos
Afin de pouvoir laisser les vélos le soir à la gare proche du lieu de travail, quelques parkings à vélos sécurisés existent (Nantes, Angers, Vertou), mais il faudrait passer la vitesse supérieure et installer ce type d'équipements dans les principales gares de toute la région, dont celles des petites villes qui ne disposent pas de réseau de transport en commun permettant de relier la gare aux lieux de travail.
Autre piste étudiée par les élus : louer aux abonnés TER des vélos en gare, à des prix très attractifs, voire gratuitement. Une idée intéressante, mais il faudra tenir compte des besoins variés des utilisateurs (parcours en côte, morphologie, ...).