L'hiver, être vu sur son vélo est essentiel
C'est un fait très français : d'après des comptages effectués par des associations d'usagers de vélos, un vélo sur 2 roule la nuit sans éclairage, et pour les autres, il manque souvent un feu sur deux ou l'éclairage est famélique.
Les associations oeuvrent sur le terrain pour inciter les usagers à entretenir cette lumière qui peut leur sauver la vie. A Angers, l'association locale des usagers (Auva) effectue depuis plusieurs années des campagnes de sensibilisation, sur le terrain. Dynamos débranchées, feux perdus ou volés, ampoules HS sont monnaie courante.
Mais force est de constater qu'il faut du courage pour trouver le petit matériel d'entretien :
- les ampoules classiques sont toujours vendues par deux (ampoule avant et arrière), à des prix souvent indécents (du simple au ... triple, pour une provenance constante : la Chine). De plus, la qualité est médiocre : il faut souvent changer les ampoules plusieurs fois dans l'hiver en cas d'utilisation quotidienne.
Sans oublier : les systèmes d'accrochage des éclairages à piles, souvent fragiles (quand ils sont amovibles, il faut les emporter avec soi pour ne pas se les faire voler) ; les éclairages avant très gourmand en piles qu'il faut constamment changer ou recharger (les feux arrière à diode, sont par contre très performants en terme de consommation).
Des solutions existent pourtant. Mais il faut s'accrocher pour se les procurer. Pour un usage quotidien du vélo, il est raisonnable d'investir quelques dizaines d'euros pour sa sécurité : Busch et Müller, fabricant allemand, propose des dynamos dignes de ce nom, puissantes et fiables, ainsi que des éclairages avant qui ... éclairent (si !) et des éclairages arrière à diode, alimentés par la dynamo, qui restent allumés plusieurs minutes après l'arrêt du vélo : pratique à l'arrêt à un feu tricolore. Reste à trouver le commerçant qui vous propose cela... en France !
Les associations oeuvrent sur le terrain pour inciter les usagers à entretenir cette lumière qui peut leur sauver la vie. A Angers, l'association locale des usagers (Auva) effectue depuis plusieurs années des campagnes de sensibilisation, sur le terrain. Dynamos débranchées, feux perdus ou volés, ampoules HS sont monnaie courante.
Mais force est de constater qu'il faut du courage pour trouver le petit matériel d'entretien :
- les ampoules classiques sont toujours vendues par deux (ampoule avant et arrière), à des prix souvent indécents (du simple au ... triple, pour une provenance constante : la Chine). De plus, la qualité est médiocre : il faut souvent changer les ampoules plusieurs fois dans l'hiver en cas d'utilisation quotidienne.
Sans oublier : les systèmes d'accrochage des éclairages à piles, souvent fragiles (quand ils sont amovibles, il faut les emporter avec soi pour ne pas se les faire voler) ; les éclairages avant très gourmand en piles qu'il faut constamment changer ou recharger (les feux arrière à diode, sont par contre très performants en terme de consommation).
Des solutions existent pourtant. Mais il faut s'accrocher pour se les procurer. Pour un usage quotidien du vélo, il est raisonnable d'investir quelques dizaines d'euros pour sa sécurité : Busch et Müller, fabricant allemand, propose des dynamos dignes de ce nom, puissantes et fiables, ainsi que des éclairages avant qui ... éclairent (si !) et des éclairages arrière à diode, alimentés par la dynamo, qui restent allumés plusieurs minutes après l'arrêt du vélo : pratique à l'arrêt à un feu tricolore. Reste à trouver le commerçant qui vous propose cela... en France !